Nicolas fait marche arrière suite aux critiques des psychiatres. Il a annoncé mardi aux députés qu'il retirait son volet "santé mentale" du texte sur la prévention de la délinquance.
"Je n'ai jamais assimilé maladie et délinquance". "Jamais nous n'avons nié la nécessité d'une réforme d'ensemble de la loi de 1990 sur les hospitalisations sous contrainte", a-t-il ajouté alors qu'il présentait son texte en deuxième lecture à l'Assemblée.
"Je n'ai jamais assimilé maladie et délinquance". "Jamais nous n'avons nié la nécessité d'une réforme d'ensemble de la loi de 1990 sur les hospitalisations sous contrainte", a-t-il ajouté alors qu'il présentait son texte en deuxième lecture à l'Assemblée.
"J'ai donc décidé de vous proposer de retirer du projet de loi les dispositions relatives aux hospitalisations d'office. Et il s'engage aussi à ce que cette réforme soit proposée au Parlement dès l'ouverture de la prochaine session si le peuple français lui confiait des responsabilités importantes".
C'est le dernier texte de notre candidat,proposé à l'Assemble Nationale.