dimanche 29 avril 2007
Santini rencontre Thierry Meignen
A la sortie de Bercy Thierry Meignen a rencontré Monsieur Santini Maire d'Issy les Moulineaux célébre parlemantaire mediatisé,une nouvelle marche franchie pour Thierry pour sa grande route pour le parlement .
Nicolas à Bercy: un grand meeting
Magnifique meeting de Nicolas en présence de 40000 personnes dont plus de 10000 sont restés dehors faute de place, parmi les artistes soutenant notre candidat : Jean Reno, Christian Clavier, Jojo et laetitia, Bigeard, Faudel, Gilbert Montagné, David Douillet,Enrico Macias, et plein d'autres encore avec la presence du fils Général de gaulle et de Simone Veil chaleureusement applaudie.
samedi 28 avril 2007
Nicolas avec les ouvriers
Pendant que la messe des bobos qui se suffisent à eux mêmes avaient droit à leur messe mediatique avec un dialogue de sourd et de combinard, Nicolas lui travaillait poue la France,il visitait un chantier avec des ouviers, il a préféré la présence du peuple auprès de lui,et il a raison car "la démocratie c'est le peuple"
vendredi 27 avril 2007
10 RAISONS DE NE PAS VOTER POUR SEGOLENE ROYAL
1. Elle a une vision très manichéenne des choses : après l'annonce par Nicolas Sarkozy de son intention d'engager la construction d'un 2e porte-avions, la candidate socialiste déclare qu'elle préfère l'Education nationale (on doit pouvoir faire les deux ...) ; idem quand, en visite dans un supermarché, elle indique vouloir incarner une société où la « présence humaine » serait renforcée en supprimant des postes de vigiles pour les remplacer par des postes de caissières (là encore, on doit pouvoir faire les deux).
2. Elle a une vision des rapports politiques fondée sur la guerre civile et le sectarisme : elle refuse de serrer la main de Françoise de Panafieu sous prétexte que cette dernière a critiqué ses positions sur le Proche-Orient ; elle refuse de saluer Christian Patriat au Salon de l'agriculture sous prétexte qu'il serait proche de la droite ; en visite aux Antilles, elle dénonce « une lecture révisionniste de l'histoire, dont une certaine droite s'est fait une spécialité » ; elle refuse de dialoguer avec le responsable des ressources humaines du supermarché Champion qu'elle visite au motif qu'elle ne souhaite parler qu'au « nouveau prolétariat féminin » (les caissières).
3. Elle n'est pas une femme indépendante des groupes de pression : rappelons que la candidate socialiste est conseillée sur les questions de justice par l'ancien président d'un syndicat de magistrats (l'USM), sur les questions de sécurité par l'actuel président d'un syndicat de policiers (l'UNSA) et sur les questions d'environnement par l'ancien président d'un groupe de pression international (Greenpeace).
4. Elle pratique un antiaméricanisme primaire : en décembre 2006, en visite au Liban, elle indique « partager beaucoup de choses, notamment l'analyse du rôle des Etats-Unis » avec un député du Hezbollah comparant les Etats-Unis avec le régime nazi. A la sortie de la réunion, elle justifiait la tenue de cette réunion par sa volonté de dialoguer « avec tous les parlementaires ou toutes les autorités démocratiquement représentatives ». Quelques mois plus tard, en avril 2007, elle indique en revanche qu'elle ne sera pas celle « qui ira serrer la main de George Bush comme si de rien n'était ».
5. Elle a une grille de lecture de la société extrêmement datée : comme Jospin en 2002, elle propose d'aller encore plus loin dans le partage du travail avec la généralisation des 35h et la création d'emplois massivement financés par les fonds publics pour lutter contre le chômage, la culture de l'excuse pour lutter contre la délinquance.
6. Elle ne cesse de reporter les problèmes sans jamais les régler : soit elle appelle à un moratoire (sur la culture des OGM ou le réacteur EPR par exemple) ; soit elle recycle un vieux concept en lui offrant un nouveau nom. Les emplois jeunes deviennent des emplois tremplins, la police de proximité devient la police de quartier, les réunions publiques deviennent des débats participatifs ...
7. Elle propose souvent des solutions approximatives et imprécises : ainsi avec le Smic à 1.500 euros dont on ne savait pas s'il devait s'entendre en valeur brute ou nette. Quelques jours avant le premier tour, la candidate socialiste précise qu'il s'agit d'un montant « net », avant que son attachée de presse indique qu'il fallait en fait comprendre « brut ». Ainsi aussi avec son contrat première chance pour les jeunes, qui a été annoncé pour durer un an, puis trois mois, puis de nouveau un an, puis étendu aux plus de cinquante ans, etc.
8. Elle n'hésite pas à asséner des contre-vérités manifestes : ainsi affirme-t-elle que les impôts n'ont pas augmenté en Poitou-Charentes alors qu'elle les a relevés de 27% en 2005 ; elle affirme également que la gauche a construit plus de logement sociaux que la droite alors que depuis 30 ans on n'a jamais construit autant de logements sociaux que depuis 2002 ; elle affirme encore que la délinquance a progressé en France depuis 2002 alors que les chiffres démontrent une baisse de 10%.
9. Elle n'arrive pas à distinguer le combat d'idées des attaques sur les personnes : ainsi la candidate socialiste accuse-t-elle la droite « de ne pas avoir de principes » (le 20 avril sur France-Inter), puis à nouveau d'être une droite « dure, agressive, sans principes, sans vertu républicaines, arrogante, qui dit tout et son contraire » (meeting à Paris le 6 février 2007) et dont le projet de société « recèle de la brutalité, de la violence et de la guerre civile » (meeting à Belfort le 13 avril). De même Nicolas Sarkozy devient un « menteur prêt à tout », qui « ne respecte pas les règles démocratiques », et « un menteur est-il apte à devenir Président de la République ? » (le 3 avril sur Canal +). Il n'aurait également « d'autre ambition que de prendre le pouvoir » (meeting à Besançon le 12 avril).
10. Elle est dure et cassante avec ceux qui ont fini par la quitter : interrogée par les journalistes sur sa réaction à la démission d'Eric Besson, la candidate socialiste répond par un méprisant « Mais qui connaît M. Besson ? ».
N'oublions pas les legislatives
Aprés le travail de Thierry Meignen et de son équipe pour soutenir Nicolas, nous devons pas oublier que notre candidat est devant Marie Geoges Buffet , par rapport au vote exprimé par les citoyens de la 4e circonscription du 93,et de loin,continuons notre travail et soutenons sans hésitation Thierry Meignen ,laiisez un message de soutien sur ce blog ou le sien
Thierry Meignen,élisons le 10 et 17 juin comme député!
Nicolas en tête des sondages
mardi 24 avril 2007
Intervention de Nicolas SARKOZY
Mes chers compatriotes,
Ce soir, le peuple français s'est exprimé. Il l'a fait avec clarté.
Après tant de scrutins marqués par la montée de l'abstention, ce premier tour de l'élection présidentielle est une victoire pour notre démocratie. En se rendant massivement aux urnes, les Français ont exprimé leur volonté de ne laisser personne décider à leur place.
En me plaçant en tête de ce premier tour et en plaçant Madame Royal en deuxième position, ils ont marqué clairement leur souhait d'aller au bout du débat entre deux idées de la nation, deux projets de société, deux systèmes de valeurs, deux conceptions de la politique.
Ce débat, nous avons la responsabilité, Madame Royal et moi, de faire en sorte qu'il se déroule dans la clarté, dans la sincérité et dans le respect des personnes. Nous avons le devoir de donner à travers ce débat une image de dignité qui soit à la hauteur de la dignité de la fonction présidentielle. Pour ma part je ne changerai pas de ligne de conduite. Je veux dire à Madame Royal que je la respecte et que je respecte ses convictions et que je souhaite que le débat de ce second tour soit véritablement un débat d'idées. Les Français l'attendent depuis trop longtemps, le réclament avec trop de force pour qu'il soit dénaturé.
Aux 11 millions d'électeurs qui ont voté pour moi au premier tour parce qu'ils se sont reconnus dans les idées que j'ai exprimées, je veux dire merci du fond du coeur. Ils m'ont fait confiance. Je ferai tout pour être digne de cette confiance.
Tout au long de la campagne, j'ai souhaité m'adresser à tous les Français au-delà des partis. J'ai voulu parler à ceux auxquels on ne parlait plus, aux travailleurs, aux ouvriers, aux employés, aux artisans, aux agriculteurs, à la France qui donne beaucoup et qui ne reçoit jamais rien, à la France qui est exaspérée et qui souffre, celle des banlieues en difficulté, des bassins industriels en déclin, des cantons ruraux abandonnés.
J'ai voulu mettre au coeur de la politique des valeurs comme l'identité nationale, l'autorité, le travail, le mérite. J'ai voulu parler de morale. J'ai proposé la revalorisation du travail, l'école de l'excellence, la moralisation du capitalisme financier, la révolution du développement durable. J'ai dit que ma priorité était de donner à chacun le moyen d'accomplir ses rêves, de réaliser ses ambitions, de réussir sa vie.
Ces principes sont le fondement de mon projet politique. Quels que soient les obstacles, je n'y renoncerai pas, je ne les renierai pas parce que je suis profondément convaincu que l'avenir de notre pays, sa prospérité, sa place dans le monde en dépendent. Comme en dépend le bonheur des Français.
Dans les 15 jours qui restent avant le second tour, je veux dire à tous les Français qui ont peur de l'avenir, qui se sentent fragiles, vulnérables, qui trouvent la vie de plus en plus lourde, de plus en plus dure, que je veux les protéger.
Je veux les protéger contre la violence, contre la délinquance, mais aussi contre la concurrence déloyale et les délocalisations, contre la dégradation de leurs conditions de travail, contre l'exclusion. Je veux leur redonner le goût d'entreprendre, d'innover, le goût de l'aventure et du risque. Je veux pouvoir leur parler de protection sans être accusé de protectionnisme, comme je veux pouvoir leur parler de la nation sans être accusé de nationalisme.
Je veux parler à tous ceux que la vie a brisés, aux accidentés de la vie, à ceux qu'elle a usés, à ceux qui sont dans la détresse. Je veux parler aux malades, aux handicapés, aux personnes âgées, à ceux qu'une pression trop forte a épuisés, à ceux qui ont trop souffert. Je veux leur redonner de l'espérance. Je veux leur dire que la France dont je rêve est une France qui ne laisse tomber personne, une France qui est comme une famille où le plus faible, le plus vulnérable, le plus fragile a droit a autant d'amour, autant de respect, autant d'attention que le plus fort, une France où même dans celui qui n'a plus de force on reconnaît la dignité de l'homme et du citoyen.
Je veux m'adresser à tous les Français pour leur dire que la société du plein emploi est un moyen et que l'objectif c'est la société de la pleine citoyenneté. Je ne souhaite qu'une chose : rassembler le peuple français autour d'un nouveau rêve français, celui d'une République fraternelle où chacun trouvera sa place, où personne n'aura plus peur de l'autre, où la diversité sera vécue non comme une menace mais comme une richesse.
Cette France fraternelle, c'est celle qui m'a tout donné. Je lui dois tout. Et à mon tour je veux tout lui rendre. Cette France fraternelle j'invite tous les Français de bonne volonté quelles que soient leurs origines, leurs croyances, leurs partis à s'unir à moi pour qu'ensemble nous puissions la bâtir.
Vive la République !
Vive la France !
lundi 23 avril 2007
Franche avancée face aux communistes à Blanc Mesnil
Franche défaite des communistes au Blanc Mesnil, ou Marie Georges Buffet est députée : ils font 7.68 % alors que l'UMP fait 26.58 % des voix soit 5248 voix sur 20004 votants. C'est du jamais vue dans cette ville détenue depuis 70 ans par les communistes.Nous avons la même tendance à Stains,et Dugny ou cette dernière la majorité municipale de droite renforce sa légitimité.
Merci aux blanc Mesnilois et Blanc Mesniloises qui ont votés pour Nicolas!
"Une idée devient une force lorsqu'elle s'empare des masses."
[Karl Marx )
On est en Finale !
Pour ou contre ce deuxième tour nous pouvons nous réjouir de la présence de Nicolas au deuxième tour avec une bonne avance de prés de 6% de plus, il arrive premier dans 78 départements alors que Ségolène l'est dans 22 départements. Votez pour elle c'est oubliez ces facéties, ses gaffes diplomatiques et refusez de voir nos revenues évolués dans le bon sens.Son projet de NS est celui qui va remettre la France sur selle.
Seul Nicolas a l'étoffe de la fonction,
je voterai donc Sarkozy au deuxième tour
vendredi 20 avril 2007
Nicolas: Bonne chance !
l'Apero Sarko de Stains: une réussite
L'atmosphère était conviviale à Stains pour l'Apero Sarko organisé le 19 Avril par le responsable de circonscription et candidat aux élections législatives Thierry MEIGNEN. Séverine LEVE, sa suppléante, mais aussi le Conseiller Général Ludovic TORO, Eric Raoult ancien ministre, vice président de l'assemblée nationale, président UMP 93, André Vayssière maire de Dugny, et de nombreux élus de Stains étaient présents au Bar "Les Palmiers" pour dialoguer avec les électeurs indécis du programme du candidat de l'UMP à l'Election présidentielle.Et pour soutenir Thierry pour sa candidature à la députation
Dimanche 22 avril 2007 Votez
Dès dimanche, avec Nicolas SARKOZY, tout devient possible !
Elisons le meilleur des candidats, souvent imité,jamais égalé, il est notre chance ultime pour que le France retrouve sa place.
<< La clé de voûte de notre régime, c’est l’institution d’un président de la République désigné par la raison et le sentiment des Français pour être le chef de l’État et le guide de la France. >> Charles De Gaulle
Vive Nicolas
Vive la République
Vive la France
jeudi 19 avril 2007
Giscard soutient Nicolas
c'est bientôt le jour J
samedi 14 avril 2007
Nicolas sur TF1 et sur BFM RMC cette semaine
vendredi 13 avril 2007
Nicolas une chance pour la France selon" The Economist"
M. Sarkozy est le seul candidat qui semble avoir compris l'urgence de la réforme et avoir l'abrasif nécessaire pour tenir une chance de la porter . Un étrange politique, qui a combattu à sa manière , par un travail dur et adroit, il reste courageux face à l'opposition. Prévoyant la résistance, ses conseillers travaillent déjà à une ébauche de la loi au service minimum, ... Pour l'économist, il y a quatre personnes qui peuvent pretendre au poste suprème, mais Nicolas semble celui qui sort du lot , il fait d'ailleurs la Une du The Economist, une référence dans le monde entiér.
Ce qui aura changé pour vous avant la fin 2007
• Vous gagnerez 165 euros de plus par mois si vous êtes rémunéré au SMIC et que vous acceptez de travailler 50 minutes de plus par jour ;
• Vous pourrez donner de l'argent sans contrainte et en franchise d'impôts à vos enfants, vos petits-enfants, vos neveux et nièces;
• Vous pourrez accéder à la propriété et déduire de vos impôts les intérêts de vos emprunts immobiliers ;
• Vous ne payerez jamais plus de 50% de vos revenus en impôts directs ;
• Vous pourrez investir votre ISF dans des PME ;
• Vous pourrez cumuler un emploi et votre retraite ;
• Vos enfants ne paieront plus d'impôt sur leur travail étudiant, les stages d'été, etc.
• Vous pourrez débloquer une partie de vos réserves de participation ;
• Vous ne subirez plus les grèves dans les services publics grâce au service minimum garanti ;
• Vous pourrez choisir l'école de vos enfants (à raison de 20% des effectifs pour la rentrée 2007) ;
• Vos enfants fréquenteront une école plus autonome, sans portable, sans casquette, sans cigarettes, sans violence, où l'on se lève quand le professeur entre dans la classe ;
• Si vous le souhaitez, vos enfants auront le droit à des études dirigées tous les soirs ;
• Si vous cherchez un emploi, vous bénéficierez de l'aide efficace d'un service public de l'emploi unifié, qui intervient tout de suite et vous suit régulièrement jusqu'à ce que vous ayez trouvé un emploi ;
• En cas de licenciement économique, vous garderez votre contrat de travail, qui sera transféré au service public de l'emploi, et 90% de votre salaire. Vous aurez la possibilité de suivre une formation ou d'essayer un nouvel emploi ;
• Vos enfants ne subiront plus la précarité du marché du travail, car ils bénéficieront dès le départ d'un contrat unique à durée indéterminée ;
• Si vous êtes étudiant, enseignant ou chercheur, vous pourrez créer votre entreprise à partir de votre université et vous bénéficierez d'une franchise d'impôts ;
• Dans les quartiers difficiles, les enfants sans qualification suivront une formation qualifiante depuis la rentrée.
Vendredi 13 avril, à 18h30 suivez sur sarkozy.fr le discours de Nicolas Sarkozy en direct de Meaux en Seine-et-Marne.
jeudi 12 avril 2007
On Veut Nicolas Président !!!
Vague bleue dans 7 jours
Thierry Meignen : un homme de terrain
A l'instar d'autre candidats politiques , Thierry est l'homme qui va au charbon, il descend dans la rue pour rencontrer les habitants de la circonscription. Il est l'oreille attentionnée des attentes de ces derniers,car il y a dans lui de vouloir faire avancer les choses, pour lui il n'y a pas de débat inutile et de rencontre aux liens tenues, mais des rencontres de citoyens dans lequel il exalte avec beaucoup de courtoisie et de respect.
Alors si vous le rencontrez, venez le voir, ilsera à votre écoute!
Thierry Meignen au Palais Bourbon
mercredi 11 avril 2007
Les machines à voter électroniques en débat.et arrivent à Stains..
30/03/07
Plus d’un million d’électeurs utiliseront des ordinateurs de vote en France en 2007. Ces machines, qui enregistrent les votes des électeurs pendant le scrutin puis les additionnent lors du dépouillement, sont introduites dans les bureaux de vote dans le but d’améliorer la procédure électorale (gain de temps, gain de personnels, gain d’argent…). Pourtant, à y regarder de plus près, les ordinateurs de vote ne sont pas sans poser de graves questions démocratiques. Sous couvert de modernité et de fiabilité, ces machines à voter peuvent jouer de mauvais tours. De nombreux pays étrangers en ont déjà fait les frais.les stanois vont faire l'expérience,nous avons décdiés d'informés les citoyens .
le cadre légal :
Le code électoral français fixe dès 1969 le cadre légal du vote à l'aide d'ordinateurs de vote. Réservé aux communes de plus de 3500 habitants, le vote électronique doit se dérouler sur un ordinateur d'un modèle agréé par arrêté du ministre de l'Intérieur et doit vérifier un certain nombre de critères (le vote doit se dérouler dans un isoloir, doit être possible pour les personnes handicapées, doit permettre le vote blanc, etc.).
La procédure :
En pratique, le citoyen entre dans l'isoloir, consulte les choix présentés sur l'écran de la machine, choisit son candidat en pressant un bouton (ou bien à l’aide d’un crayon optique), son choix est alors affiché sur l'écran et l’électeur peut confirmer son vote avant de sortir de l'isoloir pour émarger.
Lors du dépouillement, le président du bureau de vote (en présence d'assesseurs) appuie sur un bouton, l'ordinateur donne les résultats sous la forme d'un ticket imprimé qui est agrafé au procès-verbal et dont les résultats sont recopiés sur ce même procès-verbal. Ces résultats sont également inscrits dans la carte mémoire de l'ordinateur de vote, qui peut être éventuellement transmise à la mairie pour totalisation (mais c'est le procès-verbal qui fait foi).
la procédure de vote via une machine à voter respecte-t-elle correctement les critères énoncés par notre code électoral ?
Cinq critères à respecter
Le code électoral français énonce cinq critères que doit respecter une élection : confidentialité, anonymat, transparence, sincérité, unicité.
Que le vote soit effectué par des bulletins papier ou des machines à voter, on peut aisément en conclure que les critères de confidentialité et d’anonymat sont dans les deux cas respectés : pour le premier, l’électeur dispose d’un isoloir et pour le second, l’émargement n’étant pas automatisé (en France tout au moins), il est dissocié du choix de l’électeur.
Penchons-nous maintenant sur les trois autres critères. Dans le cas des bulletins papier, la transparence est obtenue car le déroulement du scrutin et du dépouillement est public et vérifiable ; la sincérité, car le bulletin déposé dans l’urne correspond bien à celui que le votant a choisi ; enfin l'unicité, car il n'y a qu'un seul bulletin par votant.
C’est là où les choses sont beaucoup moins évidentes pour le vote électronique. Après avoir validé son choix en pressant sur un bouton, le votant n’a en effet aucun moyen de vérifier que le vote enregistré par la machine est bien effectivement celui de son choix. Il doit donc faire reposer son exigence de sincérité (et d’unicité aussi) uniquement sur la confiance qu’il attribue à la machine.
De même que, lors du dépouillement, les scrutateurs et les citoyens ne peuvent pas exercer leur pouvoir de contrôle, puisque l'ordinateur calcule automatiquement les résultats, et qu’en l’absence de bulletins papier, il n’est de toute façon pas possible de les vérifier ou de procéder à un recomptage en cas de désaccord sur les résultats. L’exigence de transparence repose donc elle aussi uniquement sur la confiance dans la machine à voter.
Or en matière d’informatique, nous ne sommes pas tous conscients de la fragilité de comportement d'un ordinateur. Cette fragilité des systèmes informatiques d'une manière générale est largement admise dans la communauté des informaticiens professionnels, qu'il s'agisse d'une fragilité due à des erreurs involontaires ou à des intentions malveillantes.
Des erreurs involontaires ou des intentions malveillantes
Dans le premier cas, l'ordinateur peut simplement dysfonctionner à cause d'une erreur dans son programme ou d'une panne matérielle. En aérospatiale par exemple, les programmes sont parmi les plus sûrs du monde car des vies humaines et des sommes considérables d'argent dépendent de leur bon fonctionnement. Les ingénieurs utilisent des techniques très avancées pour s'assurer que leurs programmes comportent aussi peu d'erreurs que possible, des techniques de vérification et de preuve peuvent être mises en œuvre pour les détecter et les corriger. Mais ils savent également qu'il en subsiste souvent. Lorsqu'un programme pilote une fusée, celle-ci atteindra son objectif, ou bien déviera de sa route et explosera, comme ce fut le cas pour Ariane 5.
Dans le deuxième cas, les informaticiens savent qu'il est facile de modifier un programme avec une intention malveillante par l'insertion d'un cheval de Troie , ou d'une porte dérobée. Ces mécanismes sont particulièrement discrets et quasi-impossibles à détecter car ils ne sont pas forcément statiques. Ils peuvent être générés par le programme et n'apparaître que pendant de brefs instants pour rester totalement invisibles le reste du temps. La présence d'un mécanisme de super-utilisateur peut aussi faciliter la corruption du système.
Si l'ordinateur modifie les votes, qui s'en apercevra ?
Seuls les résultats manifestement erronés parce qu'invraisemblables peuvent être détectés : si un candidat obtient davantage de voix qu'il n'y a d'électeurs, il est évident qu'il s'est passé quelque chose d'anormal. Or, en l’absence de support physique (impression d’un ticket papier confirmant le choix de l’électeur et conservé dans une urne) aucun recomptage manuel n’est possible. Le problème peut d’ailleurs être plus discret et n'affecter qu'un faible pourcentage des votes, cependant suffisant pour faire basculer le résultat, ou bien échanger les suffrages obtenus entre deux candidats.
Pour s’en convaincre, une équipe de l’université de Princeton a testé en septembre 2006 le piratage d’une de ces machines. Deux minutes ont leur ont suffi pour ouvrir la machine et en modifier la mémoire. La trappe de protection du terminal est d’abord crochetée à l’aide d’un trombone et une carte mémoire qui charge le logiciel pirate est insérée dans la machine. La carte est ensuite retirée. Un vote factice oppose ensuite George Washington à Benedict Arnold. Le premier devrait être élu par 3 voix contre 1. Abusé par le logiciel, le terminal fournit un résultat erroné, mais préservant le nombre de votes : 3 voix pour Benedict Arnold, 1 pour George Washington.
Quelques semaines plus tard aux Pays-Bas, Rop Gonggrij, pirate hollandais chevronné, parvient à installer sur une machine (différente de celle de Princeton) un code capable de détourner un nombre de votes déterminés vers un candidat choisi.
Cette même équipe a récemment démontré qu’il est possible de connaître le choix d’un électeur en analysant les ondes électromagnétiques émises par les machines jusqu’à une portée de 25 mètres, ce qui remettrait aussi en cause la confidentialité du vote.
L’expérience de ces pays montre qu’ils ont tous vécus de nombreux incidents : de la simple panne d’ordinateurs (décalant de plusieurs heures l’ouverture des bureaux de vote), au constat de résultats aberrants (plus de voix que de votants, votants non enregistrés). Bien entendu, seules les situations de dysfonctionnement manifestes ont pu être détectées. Il est fort possible que des dysfonctionnements soient passés inaperçus car les résultats énoncés par l'ordinateur n'étaient pas aberrants. Une inversion du nombre de suffrages obtenus par deux candidats est par exemple indétectable (car le résultat n'est pas aberrant) et invérifiable… les conséquences en sont pourtant très lourdes sur le plan démocratique.
Contrôler l'intégrité et la sûreté des ordinateurs de vote
Qu’ils soient dus à des erreurs involontaires ou à des intentions malveillantes, détecter et éviter ces cas de dysfonctionnement repose pour l’essentiel sur le contrôle de l’intégrité et de la sûreté des ordinateurs de vote. Le système (matériel, logiciel, paramètres), une fois certifié, ne doit pas être modifié, et ne doit pas pouvoir être modifié. C’est en tout cas ce que défendent des chercheurs en informatique qui se sont, très tôt, intéressés à l’ordinateur de vote et préconisent des critères inspirés de ceux en vigueur en sécurité informatique.
Outre le contrôle de son intégrité (pas de modification possible), le système (matériel, programmes, circuits intégrés supplémentaires, documentation) doit être ouvert. Il doit pouvoir être inspecté à n'importe quel moment, même s'il est protégé par le secret industriel, car les systèmes propriétaires (au code source gardé secret) que l'on ne peut pas vérifier sont fortement suspec
Le système doit être disponible, doit pouvoir être utilisé à n'importe quel moment et protégé contre toute tentative, frauduleuse ou non, de corruption de son fonctionnement.
La méthode de développement du système (architecture, implémentation, maintenance, etc.) doit minimiser les erreurs (bugs) et l'insertion malveillante de lignes de programme ayant pour intention d'en corrompre le fonctionnement. Il existe différentes techniques visant à accroître la sûreté d'un système, mais aucune de ces méthodes n'est infaillible. Tester un programme avec succès ne prouve en rien sa fiabilité : la moindre inversion de la valeur d'un bit peut provoquer une erreur de une, 1024 ou encore 65 536 voix.
Les mémoires sur lesquelles sont inscrits le programme et les paramètres ne doivent être accessibles qu'en lecture pour éviter toute modification ultérieure, tandis que les mémoires recueillant les votes doivent être non réinscriptibles (once-writable memories).
L'architecture du système, son implémentation, les pratiques de développement, les procédures à suivre pour l'utiliser et les procédures de tests doivent être suffisamment documentées. La documentation doit également décrire quelles mesures de sécurité ont été prises concernant chacune de ces étapes.
L'intégrité de toutes les personnes impliquées dans le développement, l'utilisation, l'administration ou le stockage d'ordinateurs de vote doit être vérifiée.
Enfin, il doit être possible de recompter les votes manuellement par l’impression d’un bulletin ou ticket papier validé en isoloir par l’électeur, ou tout autre moyen garantissant l’anonymat du vote.
Une procédure légale insuffisante
Or, aujourd’hui, la procédure mise en place par les pouvoirs publics ne permet pas de garantir le respect de ces critères. Le ministère de l’Intérieur, à l’origine du cadre de fonctionnement de ces ordinateurs, délivre les agréments aux constructeurs en se basant entièrement sur le rapport rendu par l’organisme d’inspection (Bureau Veritas ou Ceten-Apave). Celui-ci examine UN ordinateur à un moment donné et non TOUS les ordinateurs fabriqués. En fait, cet organisme doit simplement vérifier la conformité du modèle de la machine à un cahier des charges qui semble plutôt répondre à des besoins fonctionnels (fiabilité de l’électronique, longévité, facilité d’utilisation) qu’à de réelles contraintes de sécurité. Il n’y a aucune obligation d'examen approfondi du programme ou des documents et aucune vérification de l’intégrité des personnes intervenant sur ces ordinateurs. Il n'est pas clair de savoir si l'organisme a la possibilité d'examiner le code source du logiciel de la machine, car celui-ci est protégé par le secret industriel et commercial. Cela dit, examiner le code source ne garantirait pas de détecter une fraude bien réalisée. Et des modifications dites « mineures » concernant l'entretien ou la correction de bugs ne font l'objet d'aucun examen complémentaire.
Il n’y a pas non plus de procédure particulière de scellement ou de surveillance des ordinateurs entre les scrutins. Lorsque les ordinateurs sont loués, la responsabilité du stockage revient au prestataire de services (souvent la société importatrice des ordinateurs). Aucune procédure spéciale n’est exigée pour garantir avant utilisation l’intégrité des ordinateurs « certifiés ».
Les municipalités utilisatrices, quant à elles, doivent simplement se fier à l’agrément du ministère. Lors d’une élection, l'ordinateur imprime à l’ouverture du scrutin un ticket indiquant un checksum (somme de contrôle) : deux séries de 8 chiffres ou lettres (c'est-à-dire deux nombres 32 bits exprimés en hexadécimal). Les assesseurs vérifient qu'ils sont identiques à ce qu'indique le manuel d'utilisation, mais n’ont en réalité qu’une illusion d’avoir vérifié quelque chose, puisque ce cheksum est imprimé à partir du logiciel de la machine qu’il est censé garantir.
Malgré la forte opposition de scientifiques spécialistes de la sécurité informatique et la mobilisation croissante des citoyens, il apparaît extrêmement difficile de remettre en cause l’utilisation des ordinateurs de vote, que le pouvoir politique continue à soutenir. Nous constatons qu'après plus d'une décennie d'errements, certains Etats ont quand même commencé à prendre conscience des problèmes posés par ces ordinateurs : l'Etat de Californie a décidé de rendre obligatoire l'impression d'un bulletin papier vérifié par l'électeur à partir de juillet 2006 ; en Irlande, à cause des protestations de la population et des spécialistes en informatique de la Irish Computer Society, la commission indépendante nommée par le gouvernement a déclaré en décembre 2004 être incapable de recommander l'utilisation des ordinateurs de vote pour les prochaines élections (il s'agissait d'élections locales, européennes et d'un référendum) et a finalement conclu en juillet 2006 que la mise en œuvre de mesures supplémentaires conditionnerait l’utilisation de ces machines (notamment le cryptage des votes, un examen indépendant, des tests rigoureux…).
Il serait douloureux que les mêmes erreurs soient commises en France, alors même que des élections majeures (présidentielles et législatives) vont avoir lieu en 2007, d'autant plus que la remise en cause a posteriori du bon déroulement de ces votes de première importance pourrait menacer la stabilité politique de ce pays.
Enfin, il est regrettable que la mise en œuvre d'ordinateurs de vote ait eu lieu sans qu'une commission indépendante à la fois du pouvoir politique et des fabricants ne soit mise en place.
L'utilisation de l'informatique peut contribuer à améliorer le fonctionnement de la démocratie. Par un meilleur accès des handicapés peut-être, par la dispense de bulletins pour les « petits candidats » sans doute. À condition que la mise en œuvre de ces systèmes ne dégrade pas la qualité de la procédure de vote dans son ensemble et ne remette pas en question tout un système démocratique instauré (non sans mal) depuis longtemps.
Vague Bleue dans 8 jours
Thierry meignen débat avec la CGT
Il y a quelques jours à l'invitation de la section CGT du Blanc Mesnil, pour debattre avec les partis politiques. Il était le seul représentant de la droite au Blanc Mesnil.
Il a répondu aux questions du public, comme tout les autres partis sur les thémes de la fiscalité, de la croissance, du pouvoir d'achat...et a rappellé qu'il était d'origine ouvrière,et qu'il avait obtenu sa réussite par son travail. Une valeur de notre candidat. Son esprit franc et propice au débat, a gommé quelques caricatures ancrés dans les esprits.
La section CGT du Blanc Mesnil a souhaité reprendre le débat un autre jour, peut être sur d'autre thémes, et le public a apprécié d'avoir un représentantde la droite pour qu'une véritable contradiction est eut lieu.
Dans 8 jours la vague bleue, mettez du Bleu dans votre ville !
Mobilisons nous pour la victoire !
Nicolas exalte à Villepinte
"la France qui donne tout"
Nicolas Sarkozy, que ses adversaires accusent d'être persona non grata dans les banlieues, a exalté mercredi lors d'un déplacement à Villepinte (Seine-Saint-Denis), la France "qui donne tout, pourvu qu'on sache la respecter et l'aimer". "C'est dans cette famille, cette famille la France, qui accueillit jadis mon grand-père et mon père que je vous accueille à mon tour," a déclaré le candidat UMP au cours d'une "cérémonie d'entrée dans la nationalité française" organisée par la municipalité UMP à la mairie de la localité. "Elle m'a tout donné, je lui doit tout. Elle vous donnera tout à vous aussi, pourvu que vous sachiez la respecter, que vous sachiez l'aimer", a-t-il dit. La visite de M. Sarkozy, qui a duré une heure, s'est déroulée sans déploiement important de forces de l'ordre et a donné un grand bain de foule et d'applaudissement.
mardi 10 avril 2007
Nicolas toujours en tête!
lundi 9 avril 2007
Thierry Meignen : un vrai projet pour Blanc Mesnil, Stains et Dugny
Mes propositions pour la circonscription
Sécurité
Assurer votre sécurité
Réformer le statut pénal des mineurs pour permettre des condamnations fermes et immédiates.
Il est anormal que ce soit toujours aux victimes de partir pour ne plus subir.
Restaurer l'autorité.
Autorité de l'état : la citoyenneté doit être un ensemble de droits et de devoirs.
Autorité de l'enseignant : il faut aider les enseignants à rétablir à l'école les principes élémentaires de la vie en société car on ne peut pas vivre sans règle, sans valeur, sans morale.
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Liberté
Liberté de travailler, d'entreprende, de réussir
Parce que réussite n'est pas un mot coupable, le travail doit payer plus que l'assistanat. La France qui travaille doit être récompensée, valorisée, montrée en exemple.
Il faut reconnaître les talents individuels jusque dans nos quartiers.
Liberté de disposer de ses biens et de ses revenus
Héritage : on doit pouvoir transmettre sans droit de successsion le fruit de son travail.
Propriété : la préemption doit être justifiée, limitée et indemnisée au prix réel du marché.
Protection des biens : le respect de votre patrimoine, souvent durement acquis, doit-être une priorité.
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Responsabilité
Gestion de l'argent public
Il faut exigé une intégrité sans faille de la part de ceux qui excercent les responsabilités.
Il faut lutter contre les fraudes et les abus qui mettent en péril notre système de protection sociale.
Obligation de résultat
Il fait faire reculer les injustices : le rôle de la République ne consiste pas à donner la même
chose à tous mais à faire davantage pour ceux qui cumulent le plus de handicaps.
Le 10 juin prochain,
votez Thierry MEIGNEN
Dans 10 jours la vague bleue !
Les jeunes du 93 avec Nicolas
Journal du Dimanche : Nicolas creuse l'écart
08-04-2007
Nicolas Sarkozy rassemble 29,5% des intentions de vote. Il devance de 7,5 points la candidate socialiste en baisse de 3 points à 22%. François Bayrou perd également 3 points à 19% quant à Jean-Marie Le Pen, il régresse également de 0,5 points à 14%. Au second tour, Nicolas Sarkozy l’emporte largement avec 54% (+2 points) par rapport à Ségolène Royal (46%) (-2 points). Ce sondage IFOP a été réalisé les 5 et 6 avril 2007 et succède à celui effectuer les 22 et 23 mars 2007
dimanche 8 avril 2007
Thierry Meignen : 97000 raisons pour qu'il soit député
Thierry Meignen et sa déclaration
Nicolas un vrai projet
-Il est l'homme du changement et de la rupture tranquille, c'est aussi le seul candidat qui a un projet pour dévelloper le pouvoir d'achat,il n y avait pas eut de telle mesure depuis 1981.
- Il propose de négocier avec les partenaires sociaux et les patrons dés juin s'il est élu.
Alors pourvotre pouvoir d'achat , VOTEZ SARKOZY
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